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24/01/2020
Anatole Pauvert est arrivé lors de l’intersaison 2017-2018 en provenance de Saint Nazaire. Cette année, il a intégré le groupe pro et continue d’apprendre au contact des cadres de l'équipe. Vif et rapide, il va pouvoir mettre en avant ses qualités lors de ce premier tournoi professionnel de rugby à 7.
Anatole, peux-tu te présenter ? Quel est ton parcours rugbystique ?
Je m’appelle Anatole Pauvert, j’ai 22 ans et j’ai commencé le rugby à 8 ans à Chauray avant de passer à Niort puis à Saint Nazaire ou j’ai pu jouer en Fédérale 1 élite dès l’âge de 18 ans. C’est ma troisième saison au Racing 92 et cette année j’ai intégré le groupe professionnel après deux ans en équipe Espoirs. En jeune je jouais ouvreur mais lors de mon arrivée à St Nazaire, j’ai commencé à jouer centre. Maintenant au rugby à 15 je joue à la fois centre mais aussi arrière et au rugby à 7, je peux jouer 5 ou 6.
Tu intègres le premier groupe du Racing 92 Natixis Sevens pour préparer le tournoi du 1er février à Paris La Défense Arena, comment abordes-tu cette échéance ?
Je suis actuellement retenu dans le groupe de 20 joueurs et j’espère être retenu dans le groupe final des 16 joueurs. J’aimerai pouvoir me confronter à ce qui se fait de mieux en France et apporter mes qualités à cette nouvelle équipe.
As-tu déjà pratiqué le rugby à 7 avant ce tournoi ou est-ce une première ?
Je ne peux pas employer le terme « régulièrement » mais j’ai déjà participé à quelques tournois de rugby à 7 avec différentes associations et également avec les espoirs du club lors des fins de saison.
Comment expliquerais-tu les différences entre le rugby à 15 et rugby à 7 ?
Pour moi, le rugby a 7 est plus désordonné que le 15. Il est aussi plus spectaculaire en matière de jeu, de duel et de passe. La dimension physique est également compliquée, c’est pour cela que le match dure 2 x 7 minutes contre 2 x 40 pour le 15. La répétition d’effort est également dure car il y a 3 à 4 matches par jour contre 1 match par semaine pour le rugby à 15.
Comment vois-tu la création de ce tournoi professionnel de rugby à 7 ?
Je trouve ça superbe d’organiser une compétition comme celle-ci d’une part pour promouvoir encore un peu plus le rugby à 7 et d’autre part pour révéler des joueurs qui sont peut-être plus faits pour ce sport très spécifique.
Qu’est-ce que ça apporte à un jeune joueur d’évoluer aux côtés de Juan Imhoff, Ben Volavola ou Louis Dupichot ?
Je suis très content de me dire que je vais pouvoir évoluer avec de tels joueurs. Ça ne peut que me tirer vers le haut. Leurs conseils et leur expérience ne pourront qu’être bénéfiques. Je vais pouvoir apprendre.
Le premier match lors de l’In Entexso Super Sevens sera contre le Lou Rugby Sevens. Comment vois-tu ce match ? De quoi faut-il se méfier ?
Je pense que ce match va être compliqué mais j’appréhende ce match avec du plaisir car ce sont des joueurs exceptionnels qu’on regarde tous les week-ends à la télé, il faudra se méfier des joueurs avec d’énormes qualités individuelles, d’autant plus que les duels à 7 sont difficiles.